6.9.08

Je compte les étoiles

J'aime entrer dans ton univers, dans tes créations et ton calme désarmant. Ton univers d'images et de sons, même de narration, j'aime entrer dans ton univers de folies sexuelles, sans mots - tu me délivres de moi et je te délivre de toi. C'est tout ce nous osons moins, c'est davantage ce qui nous surprend, parfois, c'est tout ce que j'attend de toi : mon corps qui n'en explose qu'encore, de toi, de moi.
La nuit m'apaise, ensuite, alors que je suis la route qui descend, qui laisse apercevoir la ville en decrescendo - la mer de lumières jaunes et blanches et qui inondent mon regard. La lune qui, souvent, n'en est qu'orange davantage et je me console de ne pas sillonner la nuit seule. Et je respire, car je ne connais plus rien des soupirs.
Ce ne sont que des mortalités joyeuses, tu sais. C'est une langueur délicieuse, tout ça, c'est de toi et c'est de moi. Jamais rien sans ça, jamais plus que des silences mordillés. Jamais plus que ça.

3 commentaires:

Stephane a dit...

Ah .... (soupir)

beck a dit...

Mais encore?

Stephane a dit...

Ce serait long à expliquer.

Just keep going :)